Madame Athea

Chers amis. Noël sans l’un de nos chérubins est effectivement un peu triste. Pour lui cela doit être un peu la même chose, mais le temps passe si vite et la famille est si sympathique, que le « cafard » ne doit durer que quelques instants. Gregory m’étonne. Il travaille comme un fou, alors qu’à Paris il se laissait aller. Il a quelques ennuis de santé mais cela ne semble pas trop le démoraliser. Il regrette simplement d’être trop fatigué pour visiter les alentours et pour profiter de toutes les activités. Je suis ravie de constater que pour lui nous sommes maintenant les « meilleurs » alors qu’en juillet il n’avait qu’une hâte : nous quitter, être indépendant et voler de ses propres ailes. Maintenant, le cocon familial lui paraît bien douillet.

MADAME ATHEA