Une année scolaire à l’étranger

Le séjour long (du trimestre à l’année scolaire) est une occasion unique, offerte aux lycéens (âgés de 13, 14, 15, 16, 17 et 18 ans), d’apprendre une langue et d’acquérir indépendance et autonomie. Ce séjour —programme phare de PIE—, basé sur l’immersion dans une famille et un lycée du pays d’accueil, a été mis en place en 1981. Il a permis à près de 9 000 adolescents de partir sur la longue durée à l’étranger.

POURQUOISÉJOURENJEUXCONDITIONSPRÉPAVARIANTESFAQTémoignages

Entre 13 et 18 ans — De bonnes raisons de partir à l’étranger

1° — Apprendre une langue

Baigner 24 heures sur 24 et pendant près de 10 mois dans un autre environnement linguistique. Se familiariser totalement avec la « nouvelle » langue, la comprendre et la parler, la maîtriser au quotidien (dialogue, téléphone, lecture, médias…), dans son travail (études ou autre) et dans la vie de tous les jours. S’ouvrir au bilinguisme et agrandir, de fait, son espace de communication et son espace culturel.

2° — Intégrer une culture

Découvrir un pays, comprendre son unité et ses différences, parvenir à s’y adapter. Acquérir ainsi expérience et maturité.

3° —  Compléter sa formation

Découvrir un autre système scolaire (le lycée étranger) et assimiler sa pédagogie : développer ainsi sa faculté d’adaptation à de nouvelles structures et compléter son apprentissage en intégrant les valeurs d’une autre école (lycée américain, sud-africain, australien, coréen…).

4° — Préparer son avenir

Augmenter ses chances de réussir ses études et de réussir plus tard dans sa vie professionnelle : l’année à l’étranger (qui passe par l’intégration dans le lycée du pays d’accueil et dans une famille), est un atout majeur dans un parcours de formation, un atout de poids au moment de passer un concours ou de postuler un emploi. Partir une année scolaire, c’est « investir » sur le long terme.

5° — Acquérir de l’indépendance

Avoir la force de s’éloigner de son propre milieu.
Au retour, mieux comprendre son pays et son environnement ; apprécier son entourage à sa juste valeur.
Apprendre à se débrouiller seul (déplacements, voyages…) et à faire face, sans l’aide directe des parents, aux difficultés de la vie ordinaire et à des situations plus exceptionnelles.
Apprendre à naviguer en terrain étranger ; savoir réagir face à la nouveauté et parfois même à l’inattendu. S’adapter.

6° — Mieux se connaître, voyager à l’intérieur de soi-même

Ce long séjour, qui se présente à une période charnière de la vie, est une occasion unique d’élargir son champ d’expérience, de s’épanouir, de prendre des responsabilités. Au fil des mois, chaque participant met à jour ses motivations profondes. Confronté à de nouvelles normes, il se découvre des capacités et des intérêts nouveaux. Au bout de l’expérience, il apprend surtout à mieux se connaître. Le but est d’acquérir maturité et sérénité.

Sur les enjeux du séjour de longue durée et sur la spécificité et l’approche de PIE : lire notre Lettre aux parents.

Partir à l’étranger entre 13 et 18 ans — Scolarité à l’étranger et vie de famille : une formation de vie, une formation pour la vie

Le séjour de longue durée diffère totalement des séjours d’été, tant au niveau des objectifs (motivations des participants mais aussi des familles d’accueil) qu’au niveau de l’organisation, de la préparation et du suivi.

La durée du séjour a des incidences directes sur son contenu et son déroulement. Tout participant est en effet amené à s’adapter à de nouveaux repères familiaux, scolaires et sociaux. Il doit, pour s’intégrer sur le long terme, créer un véritable échange avec son nouveau milieu (lycée étranger) et faire preuve d’une réelle capacité d’adaptation. Cette expérience est à la fois exigeante —par sa durée et par l’effort d’intégration qu’elle impose—  et fondatrice, puisqu’elle a généralement des répercussions importantes sur la vie future du participant. Nombre d’anciens participants aux programmes soulignent ce point, et parlent des acquis du séjour comme d’un «bagage pour la vie».

L’année passée à l’étranger constitue en fait une véritable formation; formation complète puisque touchant autant au savoir qu’à l’observation, la compréhension, l’adaptation (à l’école et à la famille) ; formation plus que « continue » puisque dispensée sans interruption pendant  près de trois cents jours ; formation très bénéfique puisque agissant sur le court, le moyen et le long terme. C’est bien l’année dans son ensemble, dans toutes ses composantes, qui constitue l’expérience éducatrice. Elle exige du participant un investissement réel, dans un ensemble social et culturel différent du sien (nouveau milieu, nouvelles personnalités, désordres engendrés par le changement de vie et de coutumes, blocages et tensions résultant de ces désordres) et renforce chez ce dernier son aptitude à bien analyser les situations, à comprendre et à surmonter les difficultés, à faire face à la nouveauté ou à l’imprévu.

L’expérience a des effets sur le comportement futur du participant. Elle est structurante et à ce titre bienfaitrice.

Parce qu’il apprend à l’adolescent à intégrer et à accepter dissemblances et différences, à agir et à réagir loin des siens, à prendre, parfois seul, des décisions importantes, parce qu’il lui apprend à mieux se situer dans le monde et à mieux y faire sa place, le séjour de longue durée offre au jeune la possibilité d’acquérir une réelle autonomie. Il l’aide à entrer dans la vie adulte.

Partir à l’étranger — Entre 13 et 18 ans
Les différentes variantes proposées au séjour classique
Les options au séjour USA

PIE propose des alternatives au séjour d’une année scolaire (2X6, Semestre, Trimestre, Échange Trimestre, 8 semaines en Australie), ainsi qu’une variante et des options au séjour USA : voir onglet Variantes.

Année scolaire à l’étranger : quelle destination ? quel tarif ? quelle date ? (voir menu “Les destinations”)

Pour choisir votre destination (USA, Canada, Australie, Nouvelle-Zélande, Japon, Corée, Allemagne et autres pays…) et pour connaître le coût des séjours et les conditions de départ (âge, dates), merci de vous reporter à la rubrique Destinations (voir onglet “TARIFS/DATES” de chaque destination).

Partir à l’étranger — Année scolaire, semestre, trimestre…
Les grandes lignes du séjour : l’immersion au lycée et en famille

Le meilleur moment pour partir

“13-18 ans” est le créneau idéal pour envisager un séjour scolaire sur la longue durée à l’étranger. C’est l’âge où l’on referme définitivement la porte de l’enfance, celui où l’on rêve de changer, de s’évader mais où l’on a, plus que jamais, besoin de structures et d’encadrement ; c’est l’âge où l’on peut encore intégrer une langue étrangère au point d’en faire sa seconde langue ; l’époque de la vie où l’adaptation à de nouvelles normes est encore assez facile ; le moment enfin où la réadaptation (culturelle, et plus encore scolaire) est la plus aisée. On entend encore parler d’année « perdue ». Quel non-sens ! Ceux qui parlent ainsi ne tiennent pas compte des connaissances, des acquis, de l’énergie, de l’expérience et des joies accumulés tout au long de l’année. D’ailleurs, quand les étudiants d’échange rentrent en France, ils évoquent tous avec fierté « leur année passée dans une école et une famille à l’étranger ». Aucun n’évoque « son année perdue à l’étranger ! »

L’accueil en famille

En intégrant une famille, le jeune Français rejoint la cellule de base de la société et en devient un membre à part entière. Une famille d’accueil est une famille comme une autre. Autrement dit une famille comme il n’en existe aucune autre. L’accueil, à PIE, ­­est ouvert à toutes les familles bénévoles qui désirent recevoir et qui ont les moyens de partager avec un jeune leurs activités, leurs loisirs… leur vie de tous les jours, en dehors de toute considération ethnique, politique ou confessionnelle.
Les partenaires de PIE à l’étranger (et leurs délégués) se chargent d’informer la famille de la réalité de l’accueil. La première prise de contact est suivie d’une visite à domicile. Le délégué, qui connaît bien le programme et ses exigences, peut renseigner objectivement la famille, répondre à ses inquiétudes et estimer sa capacité à recevoir. Une famille est retenue parce que le délégué la juge équilibrée, enthousiaste et attentionnée (références à l’appui). Dans ce cas, il l’aide à choisir un jeune étudiant en tenant compte, dans la mesure du possible, des affinités et des incompatibilités. La famille idéale n’existe pas, pas plus en tout cas que le participant idéal : si l’accord parfait se réalise, il est donc le fruit de la vie en commun. Car l’histoire d’un séjour long à l’étranger est avant tout l’histoire d’une relation qui se construit jour après jour, en intégrant les moments heureux et en surmontant les difficultés.

La scolarité dans le pays d’accueil : découverte du lycée américain, japonais, allemand, chinois, mexicain…

C’est l’école qui donne tout son piment et sa magie au séjour. Parce que chaque système scolaire a ses objectifs propres, son rythme, ses cycles, son schéma, ses matières, ses liens et ses modes de relations (professeurs/élèves, élèves/élèves, parents/professeurs), il est particulièrement délicat d’évoquer la question scolaire brièvement. Mais on peut tout de même affirmer que, quelle que soit l’école (le lycée) qu’il intègre, c’est à travers elle que le participant d’échange parvient, dans la grande majorité des cas, à s’intégrer dans le pays qui l’accueille. L’école étrangère, forcément très différente de l’école française, surprend, motive et offre de véritables sources d’épanouissement. Le jeune lycéen français, tire un bénéfice énorme de la complémentarité des systèmes, des approches éducatives et des matières étudiées. Dans la grande majorité des pays que propose PIE, c’est grâce à l’école  que s’organisent la plupart des loisirs, des activités sportives et des rencontres. C’est souvent autour d’elle —en tout cas bien plus couramment qu’en France— que se modèlent la vie et la pratique sociale. L’école est un vrai lieu d’échanges.

Il est donc fortement conseillé à un jeune étudiant de s’y impliquer activement et de profiter de toutes les opportunités offertes par les lycées étrangers : travail individuel, travail de groupe, sorties, sports, échanges, spectacles….

Partir à l’étranger — Entre 13 et 18 ans
Les enjeux du séjour long 

La question de la langue

Si tant est que PIE ait jugé le candidat apte à partir et que ce dernier ait effectué normalement son travail de préparation, l’obstacle de la langue sera rapidement franchi. À la fatigue des premiers jours (concentration, difficultés de compréhension) succédera bientôt une certaine aisance. Suivront : les rêves en anglais, en portugais ou en allemand, les longues discussions au téléphone et les fautes… de français ! Mais un niveau de langue très insuffisant peut être handicapant (surtout dans les premiers temps) ; il ne doit donc pas être pris à la légère.  Il faut savoir qu’une année passée dans un pays anglo-saxon est très profitable au niveau de la langue, mais qu’elle l’est plus encore dans des pays comme la Chine, le Japon… Nous sommes si peu en contact (cinéma, musique, radio, télévision…) et si peu familiarisés à ces langues que le bain linguistique est quasiment indispensable à leur bon apprentissage. Il faut savoir aussi que, dans certains pays (pays scandinaves ou Inde par exemple…), l’apprentissage de l’anglais est très poussé et que les perspectives de progrès en anglais pour celui qui passe un an dans un de ces pays, sont énormes.

La question de l’intégration

L’intégration à l’étranger passe par l’adaptation aux coutumes nouvelles et par la prise de conscience d’un nécessaire échange mutuel. Une famille et une communauté  accueillent une personne. Cette dernière doit être prête à recevoir mais aussi à donner. Dans son nouveau foyer et sa nouvelle école, l’étudiant d’échange ne sera considéré ni comme un invité ni comme un touriste. Le monde et la société s’ouvriront à lui, mais ne se transformeront pas pour lui. Il faudra donc, pour devenir un membre à part entière de cette famille et de ce pays, savoir observer, apprécier et, dans une certaine mesure, imiter. Le but de l’année n’est pas de remettre l’autre en cause, mais plutôt de s’accorder avec lui, de trouver des terrains d’entente, et des valeurs communes à partager.

La question de la réintégration et de l’avenir des participants

On a vu que l’impact du séjour était important et que l’expérience avait des répercussions, le plus souvent très positives, bien au-delà du court terme. Concrètement, la réadaptation scolaire et/ou universitaire se déroule bien. On en veut pour preuve le niveau global d’études atteint par tous les anciens participants PIE (voir enquête « Trois Quatorze — n° 55 »). La suite des études doit, bien entendu être programmée, dans le courant du séjour, mais cela se fait sans grande difficulté. On doit savoir qu’aucune porte n’est fermée aux étudiants d’échange PIE. Ces derniers parviennent en effet à intégrer toutes les branches d’activités, dans tous les secteurs et à tous les niveaux (des universités aux grandes écoles, en passant par les I.U.T., les écoles de commerce…). On compte aujourd’hui parmi les « anciens » PIE des médecins, avocats, agriculteurs, artistes, enseignants, entrepreneurs, ingénieurs, DRH… Les anciens participants s’entraident professionnellement grâce au réseau très actif de l’association.

Les conditions pour postuler à un séjour scolaire de longue durée

1° — Être âgé de 13 à 18 ans

L’âge précis dépend de chaque destination (voir les dates de naissance dans l’onglet “Tarifs/dates” de chaque Destination).

2° — Être scolarisé

3° — Être membre de l’association

Le candidat adhère à l’association PIE au moment de son dépôt de candidature (140 euros de “Frais d’adhésion”).

De la candidature à la participation

La candidature est retenue selon ce qui apparaît de l’étude du dossier et des échanges avec l’association :  rapport d’entretien, dossier scolaire, capacité du candidat à s’adapter aux exigences et aux contraintes du programme, motivation, état de santé du candidat, etc., et, éventuellement, selon les résultats des tests de langue (pour les pays anglophones plus particulièrement).

Une candidature retenue se mue en participation.

Pour les séjours de plus de trois mois, le départ est lié à l’obtention du visa et donc au placement familial et scolaire. Il est donc suspendu à la concrétisation du placement dans le pays d’accueil.  

À propos des séjours 2024-2025 et du nouveau bac

Les inquiétudes qui ont pu apparaître en 2020 et en 2021 relativement au nouveau bac sont maintenant entièrement levées.

Les futurs participants peuvent s’engager dans un séjour scolaire à l’étranger l’esprit d’autant plus tranquille que le ministère lui même se déclare entièrement favorable aux projets de césure. Il cherche même à les promouvoir et à les faciliter.

Concrètement, un élève actuellement scolarisé en classe de première n’a aucun souci à se faire. Selon les dispositions prises par le ministère, l’élève conservera (exactement comme par le passé) ses notes obtenues aux épreuves anticipées de français (écrite et orale), lesquelles continuent d’exister dans le cadre du nouveau baccalauréat. L’élève conservera également ses notes de contrôle continu de première ainsi que la(les) note(s) obtenue(s) à(aux) l’épreuve(s) commune(s) de contrôle continu de première.

Partir à l’étranger — Entre 13 et 18 ans
La préparation au séjour

Inscription

Si un candidat envisage de partir, voici la procédure qu’il doit suivre :

1° — Demande d’un dossier d’inscription au bureau national.

2° — PIE fait parvenir un dossier au candidat et entre en contact direct avec lui.

3° — Retour du dossier d’inscription. Le candidat veille à le remplir rapidement, mais avec soin, sérieux et attention.

4° — Le délégué français invite le futur participant à un entretien individuel. Au cours de cet entretien, il évoque avec le candidat les grandes phases du séjour. Il  informe le futur participant avec précision. Il cherche aussi à mieux comprendre sa démarche et à mieux le connaître. Il répond à ses questions. Son but est d’aider le futur participant à préparer sa candidature, et de s’assurer dans le même temps qu’il possède les qualités nécessaires pour réussir son année (minimum d’ouverture d’esprit, de motivation, de flexibilité et de réalisme, niveau de langue suffisant / test). Une rencontre a lieu aussi avec ses parents.

5° — Dès réception du dossier complet, PIE transmet son avis quant à l’acceptation. L’association retient une candidature sur l’ensemble du dossier (scolaire, médical, niveau de langue, lettre de présentation…) et au vu du rapport d’entretien.

6° — Durant la période qui suit l’acceptation et qui précède le départ, le participant est invité à se préparer personnellement en étudiant la langue du pays qui s’apprête à l’accueillir, et ce qui le caractérise culturellement.

Stage d’orientation

Si le rôle de PIE (et de ses partenaires) est, entre autres, de sélectionner le participant et de lui trouver une famille, sa raison d’être est d’aider à la réussite de son séjour. C’est pourquoi notre association organise, avant le départ, un stage d’orientation. Ce stage, qui s’étale sur un peu plus de 48 heures (ou 24 heures dans le cas de l’ « Échange ») fait office de préparation. Il peut, à titre exceptionnel, —en fonction des circonstances (ex. : Covid) ou en fonction du nombre très restreint de participants—, avoir lieu en visio-conférence et ne durer que quelques heures. 

L’objectif de cette rencontre est de mieux faire connaissance, de répondre aux interrogations de chacun, de motiver les futurs partants… ou de tempérer leur enthousiasme. De réunions en discussions, le participant retient des détails pratiques (voyage, assurances, mode de vie, écoles, règles du séjour…), apprend à profiter de toutes les occasions offertes par la vie à l’étranger, prend conscience des « gaffes » à éviter et des attitudes à adopter en cas de difficultés. Au bout du compte, il envisage l’année avec plus de réalisme. Les parents, qui sont conviés à la première demi-journée de ce stage, se familiarisent à cette occasion avec l’association (les questions principales sont abordées) et avec l’idée de quitter leur enfant sur une longue période.

Communication

Dans le courant de l’année, la communication entre l’association, le participant et ses parents n’est jamais coupée. Elle reste  établie grâce:

1° — À un réseau de délégués à l’étranger. Ces délégués sont souvent passionnés par ces échanges. Ils les ont bien souvent vécus. Ils peuvent aider, tout au long de l’année, à créer des liens durables avec la famille d’accueil ; ils peuvent soutenir et guider tous les protagonistes en cas de problèmes. Ils connaissent bien le pays, la région et la famille où le participant va séjourner.

2° — Au correspondant étranger de PIE. Durant l’année, ce dernier offre la possibilité de participer à des visites et à des rencontres.

3° — À un réseau français (délégués PIE, responsables de régions, bureau national).

4° — Au journal « Trois Quatorze », au site internet, et au réseau des anciens. Le participant échange des informations, suit la vie de PIE, fait part de son expérience et participe indirectement à celles des autres. PIE guide le participant durant toute la durée de son expérience. L’association reste disponible, notamment en cas de difficultés (contact toujours possible grâce à un n° d’urgence…).

Partir à l’étranger — Entre 13 et 18 ans — Variantes et options

A — Les alternatives au séjour classique

“2×6”

L’idée est simple : il s’agit pour l’étudiant français, de passer un semestre dans un pays et un semestre dans un autre. Différentes combinaisons (pays) possibles : voir « variante 2×6 » et s’informer auprès des bureaux.

“Semestre”

“Trimestre”

“Échange”

Ce séjour — une quasi exclusivité PIE — est basé sur la réciprocité de l’échange : une phase “DÉPART” de 2 ou 3 mois (selon la destination) et une phase “ACCUEIL” de 2 ou 3 mois également Ce programme, très complet, offre la possibilité à tous les participants de profiter de l’échange dans toutes ses composantes et de créer une vraie amitié internationale. Les familles sont impliquées dans le processus plus qu’avec aucune autre formule, 
Deux destinations possibles : le Canada (départ  et accueil pour 2 mois) et l’Australie (départ pour 3 mois et accueil pour 2 ou 3 mois) 

“2 mois”

Un séjour de près de deux mois (en Australie ou au Canada) que PIE considère comme un parfait tremplin vers le séjour long, car il permet de faire ses premiers pas dans une autre école, d’intégrer une autre famille, de découvrir une autre culture. Un séjour d’été en école et en famille. De l’exotisme et du dépaysement garantis, et la possibilité de profiter de la coupure estivale pour lever certains obstacles ou blocages (linguistique, appréhension de quitter son milieu et sa famille, etc). Des départs sont possibles également dans le courant de l’année.

B — Les variantes et les options au séjour USA

La variante “École privée aux USA”

En parallèle de son programme classique, PIE développe, sur le territoire américain, un partenariat avec des écoles privées disposant de moyens conséquents. Ce réseau d’écoles ouvre en effet de nouvelles perspectives aux lycéens en leur offrant notamment une plus grande souplesse au niveau de l’inscription et une offre de qualité en matière de formation.

L’option “Découverte New York” – 3 jours

En guise d’introduction à tous les séjours aux États-Unis, PIE propose, en option, un séjour court de 3 jours pleins à New-York.
Ce « mini-séjour » (4 jours voyage compris / 3 nuits), conçu comme une introduction axée sur la découverte de la ville et la rencontre avec d’autres étudiants, induit un autre type de « lancement/préparation » du programme.

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